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COVID et CRIMES

énervé, un médecin répond d'une drole de manière à des anti-ivg aux USA


énervé, un médecin répond d'une drole de manière à des anti-ivg aux USA https://youtu.be/https://yhttps://youtu.be/LcFxaTtFKgcoutu.be/LcFxaTtFKgchttps://youtu.be/LcFxaTtFKgcLcFxaTtFKgc


transcription d'une drôle de "blague" ou d'une drôle de réalité

- vous devez vous repentir monsieur pour tuer des bébés
- pourquoi ?
- parce que c'est un péché devant dieu
- ha  , pourquoi ?  ha, souffle puant , 
- oui
- pourquoi ? 
- c'est assez diabolique vous voyez
- oui oui 
- j'espère et je prie que vous
- oui ha
- c'est ce que vous faites aux bébés 
- oui , j'aime ça , 
- vous aimez ça,
- oui j'aime, 
- ok j'espere que vous viendrez au christ monsieur,
- oh je n'irais jamais au christ,
- j'espere que vous irez au christ
- non je n'irai pas au christ, je n'écoute pas le christ,
- vous avez un coeur assombri monsieur
- oui je sais que j'ai un coeur assombri, oui, beaucoup, très beaucoup, oui ha,
- et vous serez devant devant dieu et le jugement
- ha,  oui je le serai, chaque jour,
- tous les bébés,
- j'aime ça, j'aime ça 
- tuer les bébés
- oui je le ferai
arrivée de la vigile : " docteur " ..


autre dialogue de sourds ...
 

 " c'est une vie, non une personne " dit le médecin montrant un embryon " vous allez mourrir un jour, êtes vous pourtant un cadavre ? "

Pourtant, " ce " qu'il brandit dans un bocal est bien un " quelqu'un " et pas "quelque chose".
Il ne suffit pas de ne pas lui donner de nom, pour changer sa nature d'être humain, de sujet et non pas de plante ou objet inanimé.
" ce " qui est dans ce bocal est un être humain, qui devrait être secouru si la science en avait fourni la possibilité ( utérus artificiel etc).

" le meurtre est un crime, l'avortement est légal". Toujours la même confusion entre le vocabulaire commun, et la délimitation des infractions pénales. Tout fait interdit n'est pas réprimé pénalement. Tout fait moralement condamnable n'est pas interdit.

L'avortement est à la fois l'arrêt d'une grossesse et la mort du foetus ou embryon.
L'arrêt de la grossesse concerne le corps de la femme, il ne doit pas être réprimé, car la femme doit rester libre de disposer de son propre corps. Mais la mort de l'embryon est matériellement un meurtre, l'extraction du foetus en le détruisant ou l'abandon sans soin sont aussi des meurtres, et la fin précoce de la grossesse qui n'entraîne pas la mort du foetus peut entrainer des malformations définitives ...

L'arrêt de la grossesse ne doit pas être réprimé. Mais la mort ne doit pas être un commerce. Et la mise à mort délibérée d'un foetus qui aurait pu survivre à la fin de la grossesse, le défaut de soin, ou son exposition à des malformations par un arrêt de grossesse en l'absence de risque pour la santé physique de la mère doivent engager la responsabilité de tous ceux qui les réalisent.

Personnellement, je ne peux croire que l'avortement tardif puisse être autre chose qu'une atteinte à la santé mentale de la mère. Personne ne tue sans en souffrir un foetus visiblement de forme humaine, à fortiori son propre enfant, sauf quelqu'un qui aurait précisément une maladie mentale. Quant aux avortements dans les premières semaines, il est tout aussi néfaste de demander sadiquement à une femme d'en souffrir que de lui interdire de ressentir la souffrance qu'elle a ou aurait.




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