Article épinglé

COVID et CRIMES

68 : "Jouir sans entrave" : ... libertaires SS ?


On nous ressasse que le "refoulement" peut produire des drames, qu'il faut donc des prostitués pour se vider les ... et éviter les viols ...
En réalité, c'est plutôt la promotion du "défoulement" , faite à des hommes qui se sentiront toujours, forcément, insatisfaits par la réalité de la vie, qui est dramatique et criminogène, qui justifie le viol et tous les abus.
Que peut faire une enfant ou une femme démunie à qui on fait comprendre, que son agresseur trouvera toujours une oreille compréhensive et restera toujours assez libre et fort pour venir la tourmenter ?
Rien.

Jacques Tarnero, fait un lien entre le "jouir sans entrave", le rejet de la Loi, et la haine d'israel ...
http://www.akadem.org/sommaire/themes/politique/1/2/module_1054.php
" Jouir sans entrave" " Il est interdit d'interdire" "CRS = SS"
Ces slogans vont peser lourds dans la réprobation d'Israel ... On a dit des bêtises symboliquement très très graves. Il y a dans le mouvement de l'insurrection culturelle de Mai 68 le " il est interdit d'interdire", cela signifie que "tu ne tueras pas" : on le jette à la poubelle ... Il y a cette parole de l'Internationale " du passé faisons table rase" ... Les valeurs du bien et du mal sont jetées à la poubelle. S'il est interdit d'interdire, tout est permis.
"Jouir sans entrave" c'est "tuer un juif, égorger mon chien, violer ma seur, ça me fait jouir". La barbarie idéologique.
A l'époque, c'est la révolte de la jeunesse. Mais au fond, cela va donner des effets un peu plus tard dont les Juifs vont être victimes.

Saint Nicolas et le Père Fouettard

Provins a fait revivre la légende de saint Nicolas. Depuis le XIIe siècle, on raconte que saint Nicolas, déguisé, va de maison en maison, dans la nuit du 5 au 6 décembre, pour demander aux enfants s'ils ont été obéissants. Les enfants sages reçoivent des friandises et les méchants se font gronder par le Père Fouettard. ... Dimanche, c'est accompagné de son âne et du Père Fouettard que saint Nicolas a arpenté les allées du marché, à la rencontre des enfants sages pour leur distribuer des bonbons. ... avec le tapis rouge et les guirlandes.
http://www.lest-eclair.fr/index.php/cms/13/article/221850/Un_avant_go_t_des_fetes__
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Marcq_en_Baroeul/actualite/Secteur_Marcq_en_Baroeul/2008/12/13/article_quand-saint-nicolas-et-son-ane-font-du-p.shtml


Bataille à ROME :

http://libertyvox.com/phpBB/viewtopic.php?f=5&t=456&st=0&sk=t&sd=a&start=3585
Anne-Marie Delcambre :
Le pape espère qu'en réfléchissant sur la culture, les musulmans prendront conscience que leur "culture" est d'importation étrangère, en particulier dans tout ce qui concerne les arts (construction de mosquées, musique etc...) . Pour justifier la razzia culturelle opérée dans les pays conquis, (alors que leur saint prophète a interdit de gaspiller son argent à bâtir, interdit les instruments de musique, proscrit le dessin, la sculpture, la représentation figurée, de même qu'il a interdit les couverts d'or et d'argent, les vêtements de soie etc...) les musulmans s'appuient sur le hadîth : "Dieu est beau et aime la beauté" !!!!Mais le Dieu de l'islam n'aime pas les voleurs ; or les musulmans ont beaucoup "emprunté" aux civilisations prestigieuses auxquelles ils étaient confrontés. ....
D'après mes informateurs très au courant de la politique vaticane, le pape Benoît XVI avait effectivement réuni "le Conseil pontifical pour la culture ET le Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux en un seul conseil: c'était suprêmement habile car ainsi on évitait de discuter avec les musulmans sur les questions de dogme.On discutait sur la culture.Mais les "professionnels" du dialogue islamo-chrétien (pères blancs, dominicains, prêtres , quasiment tous massignoniens , se révoltèrent. Ces dialo-gueux allaient perdre tous leurs "avantages" : invitations à de bons repas, voyages gratuits, cadeaux etc..etc..Les musulmans se détourneraient d'eux ( la preuve que ces hypocrites de dialo-gueux , bons arabisants et islamologues, savent très bien que s'ils sont traités royalement, c'est que les musulmans espèrent les convertir)Le pape, que ces salauds appellent "le berger allemand", dut céder et maintenir séparé un Conseil pour le dialogue islamo-chrétien. Les dialo-gueux pouvaient ainsi continuer à manger des couscous gratuits et boire du bon thé à la menthe. Ils avaient gagné."

commentaire d'un internaute : " une bande de mystico-trouillards, dont la haine de l'humanité se traduit par la "compréhension" des barbares génocidaires islamiques. ... Ce genre de connards préfèrent discuter avec les adorateurs du Satan du désert car "ils croient en dieu" qu'avec des Athées défendant l'oeuvre du Christ."

http://libertyvox.com/phpBB/viewtopic.php?f=5&t=456&st=0&sk=t&sd=a&start=3645
Anne-Marie Delcambre :
La présence du Père Samuel est une véritable épine dans le pied de l'Eglise belge dialogueuse Le Père m'a raconté qu'ils l'avaient convoqué à l'évêché pour lui demander s'il ne voulait pas rentrer en Orient. Le Père leur a répondu " Mais je suis naturalisé belge. Mon pays, maintenant, c'est la Belgique.Alors ils ont inventé autre chose : il fut de nouveau appelé à l'évêché et , comme il n'a pas de voiture, Vincent, qui lui sert de chauffeur, l'accompagnait ainsi que d'autres personnes.Ce jour-là il pleuvait des cordes. Arrivés à l'évêché, le secrétaire qui ouvrit la porte refusa de faire entrer les fidèles du Père, trempés jusqu'aux os. Et alors on présenta au Père un papier : "Signez-le" lui ordonna le secrétaire, d'un ton autoritaire ! Le Père Samuel pressentit qu'on voulait lui faire signer sa démission ou autre chose de semblable. Il refusa poliment. Et c'est alors que le secrétaire se jeta sur le Père Samuel et le prit au cou. Il allait l'étrangler, tant sa fureur était grande. Heureusement le Père Samuel n'est pas un gringalet et il réussit à se dégager.

Taslima Nasreen attaquée par les musulmans indiens







A-t-on jamais vu 200 000 musulmans protester contre les attentats terroristes musulmans, contre les textes terroristes de Mahomet et de "dieu" dans le coran ? JAMAIS.
Et pourtant Libé se fait l'écho des pleurnicheries des musulmans indiens après les tueries de Bombay, parlant d'enclaves 100% musulmanes en Indes ...
Sans oublier que la presse "découvre" le terrorisme en Indes alors qu'une série d'attentats en pleine ville a déja frappé l'Inde.
http://blog.lefigaro.fr/inde/13 septembre 2008
Comme à Jaïpur le 13 mai dernier (80 morts), et à Ahmedabad, en juillet (49 morts), les Indian Mudjahideen ont revendiqué auprès de plusieurs chaînes de télévision les cinq explosions en série qui viennent de frapper la capitale New Delhi.
Un premier bilan fait état de 18 morts et d'une centaine de blessés. Il pourrait encore s'alourdir.
(...) Comme à Jaïpur et à Ahmedabad, un groupe obscur, les Indian Mudjahideen, avait envoyé, quelques minutes avant les explosions, le message suivant: "Au nom d'Allah, les Indian Mudhajideen frappent à nouveau. Nous vous imposons la terreur pour vous punir de vos péchés. Inch'Allah, vous ne pourrez rien faire pour nous arrêter".

http://www.liberation.fr/monde/0101305207-musulmans-indiens-la-crainte-de-devenir-bouc-emissaire

13 déc. Musulmans indiens, la crainte de devenir bouc émissaire
L’importante minorité a peur d’être associée aux islamistes depuis les attentats de Bombay.
LA REALITE, c'est qu'après avoir fait 80 millions de morts en Indes, après avoir exigé la création du Pakistan par secession de l'Indes pour avoir un Etat 100% musulmans, les musulmans en veulent encore plus.
"C’est pour un dessin dans LibertyVox portant cette légende (Islam Danger), et dont je ne suis pourtant pas l’auteur, qu’à l’âge de 84 ans, j’ai dû subir, voici quelques mois, durant près de trois heures, un harassant interrogatoire policier d’une sorte de «Brigade de répression de la pensée indocile» agissant à la suite d’une plainte d’une association totalitaire que notre bien complaisante justice a estimée recevable. Il en fut de même pour Anne-Marie Delcambre, célèbre islamologue.Il semblerait en effet que dans notre patrie qui se donne pour devise le triptyque Liberté, Egalité, Fraternité, il soit interdit de présenter l’islam autrement que sous l’image d’une religion d’amour, de tolérance et de paix. Moi je ne demande qu’à faire plaisir à ceux qui le croient réellement. ...
Moyennant quoi, après Manhattan, Madrid ou Londres, les guerriers de Mahomet peuvent sans être excommuniés, ni perturber les bonnes consciences, perpétrer à Bombay leur rituel sacrifice de personnes préalablement désignées comme non humaines. Ces intempérants du coran ont ainsi la même Weltanschauung que leurs maîtres et confrères gorgés de Mein Kampf aux «beaux jours» des camps de la mort. ...
Petit «détail». Parmi les victimes de Bombay figurent des Juifs, religieux Loubavitch qui ne sont pas «sionistes» et des citoyens israéliens. On me rétorquera qu’ils ne sont pas les seules victimes. J’en conviens mais comme toujours, ces Juifs sont des «privilégiés». Au lieu d’être «simplement» abattus sans autre forme de «procès», ils furent au préalable longuement torturés, comme l’ont constaté avec horreur les médecins légistes qui en ont pourtant vu d’autres, sur les corps ligotés des victimes. Sortez vos mandolines et vos luths et chantez-nous la douceur, l’amour, la tolérance et la paix que l’Islam fait rayonner dans le monde des infidèles.
...
On a même pu entendre dans je ne sais plus quelle émission radio ou télé un «expert» soutenir d’une voix grave et accusatrice que la minorité musulmane de l’Inde, forte tout de même de quelque 120 millions d’individus, est «discriminée», ce qui justifierait la "révolte" musulmane. Sans me prétendre expert, je crois me souvenir que les islamistes, voulant un état bien à eux, ont créé le Pakistan au prix d’un bain de sang et d’un nettoyage ethnico-religieux. Alors que le Pakistan est constitutionnellement un état musulman pour les seuls musulmans, l’Inde, multiethnique et pluri-religieuse n’a pas de religion d’Etat. Alors, pour comparer ce qui est comparable, commençons par demander à ces prétendus experts quel est le sort des minorités non musulmanes qui subsistent au Pakistan. "

LE RÉVISIONNISME ET LE NÉGATIONNISME EN INDE
par François Gautier

1ère PARTIE : LE RÉVISIONNISME EN INDE
À l'heure où un gouvernement de la droite hindoue va peut-être, pour la première fois, prendre le pouvoir dans le sous-continent, un intense débat sur le « négationnisme » fait rage en ce moment en Inde. Il range d'un côté les marxistes alliés aux musulmans, et de l'autre les hindous.
Au centre de ce débat, plusieurs livres, dont « Le négationnisme en Inde », (Voice of India, New Delhi), écrit par l'historien et sociologue belge Konraad Elst. Pour M. Elst, le négationnisme, « c'est la perversion des données historiques d'un pays par ceux qui en rédigent l'histoire officielle ». Dans le cas de l'Inde, estime M. Elst, ce négationnisme s'est surtout appliqué à gommer l'horreur des invasions musulmanes en Inde et à dénigrer l'identité hindoue de la nation indienne. M. Elst commence par rappeler que Nehru, le premier leader de l'Inde indépendante, était un grand admirateur de l'URSS. C'est lui d'ailleurs qui initia l'étatisation de l'Inde sur le modèle soviétique, suivi en cela par sa fille Indira, qui plus tard nationalisa toutes les banques. Pendant longtemps, l'Inde suivra aveuglement sa politique pro-soviétique, qui par exemple faisait des Juifs les oppresseurs et des Arabes les opprimés ; c'est pourquoi New Delhi n'aura pas de relations diplomatiques avec Israël pendant 47 ans. Sous l'impulsion de Nehru, trois générations d'historiens et d'intellectuels indiens marxistes s'efforceront de persuader leurs compatriotes (et le reste du monde) qu'il n'y a jamais eu de génocide musulman sur la personne des Hindous, alors que de nombreux historiens, tels Alain Daniélou, Will Durant, Sitaram Goel, ou Konraad Elst ont toujours affirmé le contraire. Le Professeur K.S. Lal dans son livre « La croissance de la population musulmane en Inde », affirme par exemple qu'entre les seules années 1000 à 1525, 80 millions d'Hindous furent tués directement et indirectement (famines et autres calamités naturelles engendrées par la guerre) par les musulmans. Ils leur apprendront également à haïr le système des castes et à ridiculiser tout ce qui est hindou, même si pour beaucoup d'indianistes, l'Hindouisme constitue le génie particulier de l'Inde. Écoutez ce qu'en dit Alain Daniélou dans son « Histoire de l'Inde » (Fayard) : « Le Congrès, dont la plupart des journaux étaient de langue anglaise, présenta les partis hindous (dont le Jana Sangha, l'ancêtre du Bharata Janata Party) comme barbares, fanatiques, ridicules ; et la presse britannique eut beau jeu de reprendre les propos de ses “confrères” indiens ». (Aujourd'hui, rien n'a vraiment changé : les journaux indiens de langue anglaise en Inde continuent de « croquer » du Hindou (fondamentalistes, nazis, sectaires), fidèlement copiés en cela par les correspondants occidentaux, qui à leur arrivée en poste se tournent spontanément vers leurs confrères indiens pour comprendre ce pays si compliqué et contradictoire). La Mecque intellectuelle du marxisme nehruvien en Inde se situe à New Delhi, au sein de la prestigieuse Jawaharlal Nehru University. C'est là que les intellectuels indiens façonnèrent le mythe musulman, en s'attardant sur le génie bienveillant des Moghols. Ainsi, dans le célèbre livre « Communalism and the writing of Indian history », Romila Thapar, Harbans Mukhia et Bipan Chandra, professeurs à la JNU, nient le génocide musulman, en le remplaçant par un conflit de classes : « les Musulmans libérèrent les castes défavorisées en leur donnant accès à l'Islam ». La redoutable Romila Thapar, une sommité intellectuelle en Inde, a publié par ailleurs chez Penguin, en collaboration avec l'historien britannique Percival Spear, une « Histoire de l'Inde » où elle écrit « que la supposée intolérance d'Aurangzeb (un des empereurs moghols les plus sanglant qui soit), n'est rien d'autre qu'une légende hostile basée sur quelques actes épars, comme l'érection d'une mosquée sur un temple à Bénarès ». Konraad Elst, pour qui le négationnisme, c'est aussi la négation des grands génocides de l'humanité, prend en exemple le sac de la ville de Vijaynagar au XVIème siècle par Husain Nizam Shah. Vijaynagar fut le dernier grand royaume hindou des Indes, un des plus beaux, celui qui symbolisait une renaissance hindoue après 9 siècles de conquête musulmane. Pour Alain Daniélou, « la mentalité chevaleresque, la justice humaine, le respect de la vie et de la propriété qui y régnaient, forment un contraste étonnant avec la cruauté, la barbarie, les massacres, les viols, les populations entières réduites à l'esclavage, qui caractérisent les empires musulmans ». Et il ajoute : « Barbosa remarque avec étonnement que le roi (de Vijaynagar) permet une telle liberté que chacun peut aller, venir et vivre sa religion sans que personne ne l'inquiète ou lui demande s'il est chrétien, juif, musulman ou hindou ». Le 23 janvier 1565, Husain Nizam Shah s'empara de Vijayanagar : « pendant cinq mois les musulmans s'employèrent à tout détruire... les scènes de massacre et d'horreur, disent les contemporains, dépassèrent tout ce que l'esprit peut imaginer et il ne resta plus de la belle et prospère cité que quelques ruines fumantes »... (Histoire de l'Inde. A. Daniélou). Que dit cependant l'histoire officielle ? Prenez par exemple « l'Histoire de l'Inde Moderne », parue en 94 chez Fayard. Dans le chapitre consacré à Vijaynagar, on ne peut s'empêcher de percevoir l'inimitié de l'auteur (7 historiens ont coécrit cette histoire) pour l'Hindouisme. On accuse d'abord les deux jeunes princes fondateurs de Vijaynagar, qui furent convertis de force à l'Islam, d'avoir « renié l'Islam », aussitôt remis en liberté ; puis on souligne « l'ambition des brahmanes », qui se servirent de ces princes renégats pour reconquérir leur pouvoir perdu aux mains des Arabes (p.54). On mentionne ensuite « l'insatiable exigence du pouvoir central (hindou, bien sûr), à l'égard de ceux qui lui étaient soumis » (p.56), en oubliant de mentionner qu'à Vijaynagar les Hindous connaissaient enfin la liberté du culte, qu'on ne les tuait pas, qu'on ne rasait pas leurs temples, qu'on ne violait pas leurs femmes, qu'on n'envoyait pas leurs enfants en esclavage. On qualifie par ailleurs Vijaynagar de « royaume guerrier » (p.57), comme si les Hindous avaient le privilège du militantisme et qu'il leur fallait baisser les bras devant l'ennemi musulman, le belliciste sans pitié par excellence... Et tout cela finalement pour passer en exactement sept mots sur l'horrible sac de Vijaynagar: « pillages et massacres durèrent trois jours entiers », ajoutant, pour bien montrer la magnanimité des Moghols : « les sultans laissèrent à chacun ses prises, joyaux, esclaves, tissus précieux, ne gardant que les éléphants chargés de trésor » (p.60). Que de pages et de pages qui sous-entendent l'esprit fanatique des Hindous, la cupidité des brahmanes et le pouvoir absolu des maharajas (en l'occurrence le merveilleux Krishna Deva Raya), et si peu sur un des massacres les plus terrible, les plus inutile, les plus monstrueux de l'histoire de l'Inde. « Voilà bien du négationnisme », s'exclame l'historien indien Ram Swarup !
2ème PARTIE : LE NÉGATIONNISME EN INDE
L'INDIANISME FRANÇAIS
L'historien français Alain Daniélou, qui avait vécu l'Inde du dedans, résidant pendant vingt ans à Bénarès, où il apprit le sanskrit et la musique indienne, se plaignait souvent du « biais islamisant de l'indianisme français ». Les choses ont-elles vraiment changé aujourd'hui ? Prenez par exemple le livre de Christophe Jaffrelot « Le nationalisme hindou ». M. Jaffrelot, qui est chercheur au CNRS, possède une remarquable connaissance académique de l'Inde, mais il prend un tout petit bout de l'histoire indienne – de 1920 à nos jours – pour expliquer la naissance du nationalisme hindou. Pour l'historien indien Sitaram Goel, « s'il y a nationalisme hindou – et c'est discutable – il résulte de dix siècles de soumission peureuse, abjecte, absolue, aux persécutions musulmanes. Gandhi ne nous a-t-il pas appelé des couards » ? Quand on lui parlait de nationalisme hindou, Daniélou rétorquait toujours « que tout au long de son histoire, l'Hindouisme a fait montre d'une une remarquable tolérance, permettant aux Chrétiens de Syrie, aux marchands arabes, aux Parsis de Zoroastre, aux Juifs de Jérusalem, persécutés chez eux, de s'établir en Inde et d'y pratiquer leur religion en toute liberté ». Peut on en dire autant des musulmans ? « On ne dira jamais assez l'horreur que furent les invasions arabes en Inde. Les ignorer parce qu'elles appartiennent au “passé” est ridicule, car elles se répercutent encore dans les événements politiques d'aujourd'hui », affirme l'historien belge Konraad Elst dans son livre « Le négationnisme en Inde » (Voice of India, New Delhi). On ne peut donc comprendre l'Inde de 1998 sans une connaissance approfondie de son histoire. « Ne prendre par exemple qu'Ayodhya pour en faire les fondations du “fanatisme” hindou, c'est non seulement ne percevoir qu'un tout petit bout de l'iceberg, mais c'est aussi un mensonge flagrant », écrit toujours M. Elst.
Pour M. Elst, le négationnisme en Inde, qui est d'inspiration marxiste, s'est appliqué à gommer des livres d'histoire écrits après l'indépendance indienne de 1947, toute l'horreur des invasions musulmanes et à dénigrer l'identité hindoue de l'Inde, en s'attaquant aux partis politiques, tel le Jana Sangh, (l'ancêtre du Bharata Janata Party, qui vient de prendre le pouvoir en Inde), qui au début des années 20 s'efforcèrent de contrebalancer l'influence grandissante de la Ligue Musulmane qui commençait déjà à réclamer la création d'un état séparé pour les musulmans indiens. L'indianisme français du XXème siècle semble s'être fortement inspiré de ce négationnisme-là, témoin « L''Histoire de l'Inde Moderne », paru en 1994 chez Fayard et qui fait référence aujourd'hui chez nous. Dans le chapitre « La splendeur moghole », Marc Gaborieau, Directeur du Centre d'Études de l'Inde et de l'Asie du Sud, parle en termes élogieux de l'empereur Aurangzeb, lequel avait la réputation – même aux yeux des musulmans indiens – d'avoir été le plus sanguinaire et le plus pervers des Moghols : « Aurangzeb a concentré sur sa personne la haine des Hindous militants qui lui attribuent des destructions systématiques de temples et des conversions forcées massives... cette image manichéenne doit être sérieusement corrigée » (126). « Malheureusement, intervient Konraad Elst, Aurangzeb était si fier de ses actes, qu'il les avait fait dûment archiver et qu'ils sont parvenus jusqu'à nous ». M. Elst rappelle donc qu'Aurangzeb (1658-1707), ne construisit pas seulement une énorme mosquée sur le plus vénérable temple de Bénares, la ville sainte hindoue, temple qu'il avait auparavant fait raser, il ordonna les destruction de TOUS les temples en Inde, dont le Kashi Vishvanath, un des plus sacrés du pays, celui de Krishna à Mathura, le temple de Somanath au Gujurat, ou le temple Treka-ka-Thakur à Ayodhya, et fit construire des mosquées à leur place. Le nombre de temples détruits par Aurangzeb se compte non pas en centaines mais en milliers. Aurangzeb ne se contenta pas de détruire des temples, il fit aussi éliminer les païens : « Ahmed Khan fit savoir à sa Majesté que 2 000 Hindous furent exécutés parce qu'ils continuaient leurs abominations religieuses », rapporte une chronique de l'époque. Le gourou sikh Tegh Bahadur fut décapité parce qu'il protestait contre les conversions forcées d'Aurangzeb. Et même le propre frère de l'empereur, Dara Shikoh, fut exécuté pour s'être intéressé à la religion hindoue. Par contre Shivaji, un des rares Hindous, qui au XVIIème siècle, seul dans un océan de terreur, osa s'élever contre les Moghols, ne trouve pas grâce aux yeux des auteurs de l'Histoire de l'Inde : « Il s'illustre par son sens de la provocation » (127). (Ce n'est pas bien de provoquer les pauvres Moghols, ô Shivaji) ! « Il put mettre en déroute par traîtrise l'armée de Bijapur ». (Ce qui prouve qu'il ne faut jamais faire confiance à un Hindou). D'ailleurs, « Il fait aussi une fausse soumission à Aurangzeb ». (Oh, le vilain traître) ! En plus bien sûr, c'est un païen, un idolâtre : « Il ressuscite la vieille cérémonie hindoue du sacre et se pose comme le protecteur des vaches, des brahmanes et des dieux » (128) (Notez la triple association pernicieuse : vaches, brahmanes et dieux)...
De nombreux observateurs estiment aujourd'hui « que l'Indianisme français doit se remettre en question, car ses bases reposent sur des données archéologiques et linguistiques qui datent du XIXème siècle ». Le magazine indien « India Today », que l'on ne peut accuser de « nationalisme », vient par exemple de publier un grand dossier racontant comment des récentes découvertes archéologiques et linguistiques prouvent – entre autre – qu'il n'y a jamais eu d'invasion aryenne en Inde. Or, l'indianisme français continue à défendre ce théorème, comme c'est le cas à Pondichéry, par exemple. Pondichéry, c'est la Mecque de l'Indianisme français en Inde : l'École française d'Extrême Orient et l'Institut français y font un remarquable travail de recherche depuis l'indépendance ; les uns traduisent des vieux textes tamouls écrits sur parchemin de palme ; d'autres photographient les temples de Tanjore afin d'en recenser toutes les subtilités ; d'autres encore sont des sanskritistes de renom. « Malheureusement, se plaint un chercheur indien qui a été associé à l'EFEO, les Français semblent mépriser l'hindouisme en tant que religion ». « Nous ne faisons pas de la théocratie », a rétorqué l'un des chercheurs français, lorsqu'on lui demandait, lors d'une conférence internationale de Sanskrit à Pondichéry, le sens de certaines écritures religieuses hindoues. Mais comment prétendre étudier les temples de Tanjore, le Sanskrit ou le Tamoul ancien, tout en les dissociant de l'hindouisme, qui est la trame de l'Inde, son génie culturel et spirituel ? « Voilà une arrogance bien française que de tenter d'appliquer à l'Inde des paramètres qui ne sont valables qu'en France, en l'occurrence la séparation de l'Église et l'État », s'offusque un chercheur indien. Il faudait donc que l'indianisme français de Pondichéry remette aussi de l'ordre dans sa maison : l'École Française d'Extrême Orient et l'Institut français collaborent rarement ensemble ; et l'EFEO s'est scindée en deux pour cause d'incompatibilité de ses chercheurs.
François Gautier
New Delhi/Pondichéry
(Écrivain, journaliste et photographe français, François Gautier, né à Paris en 1950, fut le correspondant en Inde et en Asie du Sud du Figaro pendant plusieurs années. Il vit en Inde depuis plus de trente ans, ce qui lui a permis d'aller au-delà des clichés et des préjugés qui ont généralement trait à ce pays, clichés auxquels il a longtemps souscrit lui-même comme la plupart des correspondants étrangers en poste en Inde (et malheureusement aussi la majorité des historiens et des indianistes).François Gautier a été invité à présenter Un Autre Regard sur l'Inde à l'émission Bouillon de Culture en juin 2000.)


10-12-2008 Paris 9ème Cercle d'Etude de la Déportation

10 décembre 2008 Paris 9eme Cercle d'etude de la Déportation

Les enfants de Buchenwald, du Shtetl à l’OSE (Conférence, 10 décembre 2008)

Conférence du Cercle d’étude de la Déportation et de la Shoah - Amicale d’Auschwitz

Les enfants de Buchenwald, du Shtetl (quartier juif d’Europe centrale) à l’OSE (œuvre de secours aux enfants)
par Katy Hazan, historienne (Les orphelins de la Shoah, les maisons de l’espoir, 1944-1960, Paris, Belles lettres, 2000),
en présence de Armand Bulwa, déporté et témoin

Le mercredi 10 décembre 2008 à 14h30 au Lycée Edgar Quinet (63 rue des Martyrs, Paris 9 ème)Entrée libre
_______________________________________________

Autant la création d'une nouvelle religion soit disant de commération de la "Shoah", les 27 septembre, me parait extrêmement suspecte, autant l'initiative de Sarkozy de faire porter par des enfants la mémoire d'enfants juifs me parait une odieuse récupération et une source d'antisémitisme ( certes, qu'est ce qui ne l'est pas, mais tout de même),
autant le fait que les rescapés des camps, juifs ou pas, qui le souhaitent, puissent communiquer PERSONNELLEMENT leur mémoire à des enfants, même petits, me parait être extrèmement utile, et du fait de cette rencontre personnelle, ne comporter que des effets bénéfiques, et n'être que porteur d'espoir, l'espoir d'avoir survécu, l'espoir de pouvoir mieux comprendre et prévenir, peut etre que seul un ou une rescapée peut transmettre quelque chose de sa mémoire sans traumatiser un enfant et sans fausser les choses.

Par ailleurs, à propos d'Edgar Quinet, voici ce qu'il a découvert en se rendant en Grèce, alors qu'elle venait d'échapper au joug ottoman :
En 1829 Edgar Quinet qui a vingt-six ans débarque, dans le sud du Péloponnèse, le 3 mars 1829 à quatre heures du soir, les troupes du pacha d'Egypte Ibrahim ne sont parties que depuis quelques semaines. C'est un immense charnier. Edgard Quinet écrit :"Je me dirigeai vers les restes d'une église byzantine où je croyais voir des marbres écroulés . Il se trouva que [le sol] était jonché de blancs squelettes. "Je descendis vers la mer pour y chercher le port; là encore je ne vis sous une nuée de corbeaux que des ossements d'hommes et de chevaux, des débris d'armes et de vêtements que la vague, qui était alors très forte, rejetait avec les pierres ...."
La Grèce que découvre Quinet en 1829 est un ossuaire. Mais un ossuaire où il pressent déjà la résurrection de l'histoire. Le pays a été détruit par les Turcs, des milliers d'oliviers ont été incendiés , les moissons brûlées. (article du journal le Monde de 1984 , rubrique "histoire" de Jacques Lacarrière.)

Tombes chrétiennes profanées : tous les trois jours ...

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2008/12/09/01016-20081209ARTFIG00324-un-cimetiere-est-profane-tous-les-trois-jours-.php

Un cimetière est profané tous les trois jours
Dans un rapport parlementaire dont le Figaro a pu prendre connaissance, deux députés mettent en évidence la multiplication des atteintes aux sépultures en France.
Intitulé «Du respect des morts à la mort du respect», ce document dresse un édifiant état des lieux.
Premier constat : les atteintes aux sépultures sont plus courantes. Il en survient environ une tous les deux ou trois jours en France.
....la grande majorité des profanations concerne des sépultures chrétiennes…» Autour de 10 % à 15 % des profanations seraient sataniques. Et 80 % des interpellés par la gendarmerie depuis janvier ont moins de 18 ans.

LDF contre LDH

http://www.ripostelaique.com/Lettre-ouverte-au-President-de-la.html

"Ce jour-là, nous avons été insultées, oui, insultées publiquement, par celui qui disait parler au nom de votre association, M°Tubiana. ... Votre avocat, plus encore que ses confrères, se déchaîna avec une violence inouïe contre nous (« vous vous comportez en racistes, vous êtes une honte pour la France », « Simone de Beauvoir se retournerait dans sa tombe »). "